L'amour. Ce sentiment si puissant qui vous porte, vous amène à faire des choses que vous n'auriez pas cru possible autrement. Lorsque l'amour est là, la confiance en prime, on peut déplacer des montagnes, soulever des rebellions, renverser un royaume. C'est ce qu'avaient fait à plusieurs reprises Snow-White et son prince, défiant l'autorité de Regina, tant dans ce monde que dans le leur. Rien ne les arrêteraient pour que le bien triomphe du mal. David mettait un point d'honneur à tout cela. Lors de son amnésie, à être ce gentil petit vétérinaire, il avait bien faillit se laisser avoir par le Maire, mais son attachement à Mary Margaret était fort, plus puissant que tous les sortilèges et la femme n'avait pas pu mettre le prince dans sa poche et empêcher que la malédiction ne soit brisée. Elle perdait du terrain et encore plus aujourd'hui.

Depuis que le sort noir avait été levé, que la magie était de retour en ville, ou plutôt nouvelle dans ce monde-ci, les héros n'avaient pas eu le temps de se reposer. Par l'invocation d'un spectre, le groupe avait du utiliser un portail entre les mondes afin d'être en sécurité, le Maire ne souhaitant pas mourir malgré l'envie irrésistible de David pour la faire disparaître de cet terre. Malheureusement, happée par le monstre, Emma fut entraîner à travers le portail. Mary Margaret, refusant de perdre une nouvelle fois son enfant, se jeta à sa suite. Hors de question de laisser errer Emma dans un tel univers, comme ils l'avaient fait autrefois... L'homme n'avait pas pu suivre, le passage s'était refermé sous lui. S'en suivit des jours de torture mentale pour lui, ne pouvant contacter sa famille, se retrouvant seul à gérer un enfant, Henry. Mais une chose était sûre : il les retrouverait toujours. C'était le destin du couple, la famille passait avant tout pour eux.

Après de douloureux épisodes, qui mirent en danger Storybrooke, l'institutrice et sa fille revint dans ce monde, levant le sort que David s'était infligé afin d'entrer en communication avec elles. Tout aurait pu s'arrêter là, mais ce ne fut pas le cas. Un plus terrible combat se prépare et notre couple de héros à dut mettre en place bien des ruses afin de veiller au mieux à la sécurité de leur peuple. Jamais encore ils n'avaient pu se retrouver seule depuis leurs retrouvailles. C'est pourquoi aujourd'hui, ayant délégué ses responsabilités à Ruby et Prof, le jeune homme écrivit un mot à sa dulcinée.
Prenant tout ce qu'il fallait pour un pique-nique romantique, le prince s'en alla faire son devoir du matin. Snow trouverait le mot en rentrant en fin de matinée, et leur moment à deux pourrait enfin avoir lieux...  A midi sonnante, David était en place, le drap tendu au sol, les assiettes et mets disposés sur celui-ci. Un véritable déjeuner des plus somptueux. Il n'y avait plus qu'à attendre. Pourquoi ce bord de rivière ? C'est là que tout a commencé, comme l'avait écrit le blondinet. Sur ce pont délabré, dans leur monde à eux, c'est l) qu'ils ont combattu ensemble pour la première fois, la flèche de Cupidon les touchant en plein cœur. Ils n'avaient pas pu s'oublier après cette journée passé à rechercher les bijoux de celui qui se faisait appelé James. À Storybrooke, c'était également le lieux de leur première entrevue. Désorienté, David s'était réveillé de son coma et avait marché, sans but, vers cet endroit. Un endroit familier pour lui. Mary Margaret l'avait alors trouvé, gisant au sol, et lui fit du bouche-à-bouche. Ouvrant les yeux, John Doe aperçut la belle brune et tout changea pour lui. Son esprit fut envahit de pennées pour cette demoiselle. Il semblait que leur histoire n'était pas nouvelle, qu'ils s'étaient déjà rencontré. Et il avait raison ! C'est pourquoi il attendait sa femme avec impatience ce midi. Ils avaient besoin d'être tous les deux, rien qu'un moment, rien que our se retrouver vraiment avant de devoir se battre de nouveau pour leur liberté.

Le blondinet attendait avec impatience sa dulcinée, rêvant de la serrer dans ses bras. Bien sûre, ils avaient pu avoir ce genre de contact dès le retour de Mary Margaret de la forêt enchantée, mais ces moments avaient été très cours et le couple avait besoin de pleinement se retrouver. Il est important d'avoir des moments à soit lorsque l'on est un couple, afin de pouvoir se recentrer, de mettre à plat toutes ces choses, d'être ensemble tout simplement, s'aimant comme dans un conte de fée. Alors lorsque la brune arriva, David était prêt. Il leva les yeux en entendant le crissement des chaussures de sa princesse sur les graviers du bord de l'eau. Elle était belle, même avec les cheveux cours. David avait toujours raffolé de ses long cheveux noir comme le geai, mais ça ne le dérangeait pas de la voir ainsi. Dans leur amnésie, il avait prit l'habitude de la côtoyer sous cet aspect, ce n'est pas maintenant qu'il allait lui trouver un drôle d'air. Et puis, pour lui, rien ne comptait plus que ce que Snow avait dans le cœur. Et ce qui s'y trouvait était juste magnifique, aussi beau qu'elle était belle. Un cœur pur.

La jeune femme s'avança vers lui, tout en lui demandant comment il allait. L'homme attendit qu'elle soit à sa hauteur pour la serrer dans ses bras et il pu répondre. « Te voir me ravit le cœur. » Puis les deux héros s'embrassèrent avec une passion plus que débordante. Comme s'ils ne s'étaient pas vu depuis des années, comme depuis vingt-huit ans. Ils avaient échangé ce même baiser lorsqu'ils s'étaient retrouvé, à la levée du sort noir de Regina. C'était si bon d'être enfin réunis ! Jamais ils ne se lasseraient l'un de l'autre, c'était ça le véritable amour. On se comprend, on se complète, on se pardonne et on raffole de ces petites escapades en amoureux.
Mary Margaret demanda à son prince ce qu'il avait préparé pour cette occasion. Le prince en sourit de plus belle à l'idée de dévoilé tout ce qu'il avait apporté. « Et bien, on ne peut pas dire que l'on trouve tout ce que l'on a chez nous, mais avec la nourriture de ce monde-ci, on a de très sympathiques choses. » Il invita sa belle à s'asseoir sur la couverture, sortant de son panier quelques petites choses. Du temps de la forêt enchantée, les pique-niques regorgeaient d fruits et légumes préparés avec soins par les cuisiniers du château, mais David avait prit l'habitude de prendre lui-même tous les ingrédients nécessaires. Aussi, l'on pouvait trouver une variété de fruits considérable, fraises, bananes, poires, pêches. Pas de pommes non, c'était un fuit malfaisant pour cette famille, autant ne pas prendre de risque. Des légumes aussi, tout ce qu'il y avait de facile à consommer froid comme de la laitue, une salade de pomme de terre, et de la viande ! Bien entendu de la viande ! C'était obligé ! On ne fait pas un pique-nique sans un bon morceau de poulet. À tout cet attirail s'ajoutait des mets de ce monde, des yaourts, des chips quelques petites choses comme ça. Une bouteille de vin pour que le tout soit parfait.

« C'est bon d'être un peu seul. J'ai l'impression de ne pas avoir pu me reposer depuis plus de vingt ans ! Il y a beaucoup d'agitation en ville depuis l'ouverture des portails. Nous allons avoir du travail, mais aujourd'hui, c'est un jour pour nous. Pour célébrer notre amour comme on n'a pas pu le faire depuis des décennies. » déclara le Charming en servant deux verres de vin. Il fallait fêter ces retrouvailles avec plus que des étreintes entre amis. La troupe avait pu rendre du bon temps et faire une soirée chez Granny's, mais ce n'était pas la même chose. Ils n'étaient pas tous mariés comme eux. « A nous ! » lança-t-il fièrement en brandissant sa coupe. Ou plutôt son verre en plastique... On fait avec les moyens du bord !

David observa sa femme. Ses gestes étaient toujours aussi gracieux que dans ses souvenirs, son port altier parfait. En réalité, la Mary Margaret qu'elle avait été ces vingt-huit dernières années ressemblait énormément à ce qu'était Blanche dans la forêt enchantée. Une personne qui sait où elle va, douce et romantique, généreuse et toujours prête à aider les autres. Elle avait accueillit Emma chez elle, sans avoir conscience de l'identité de celle-ci, aida David à sortir de son coma en se laissant persuader par un petit Henry très motivé. Ce petit est vraiment quelqu'un de bien. Il tient de la famille et ça se voit. Il a la bravoure et la force de caractère de sa mère, Emma, qu'elle tient elle-même de Charming. C'est impressionnant de voir comment les enfants prennent de leurs parents, même sans les avoir connu. Tout se passe réellement dans les gênes. Rien ne s'oublie, pas même une façon de parler, de marcher, ou de s'asseoir, comme le prouva Mary Margaret à l’instant même où elle s'assit. Cela fit sourire le jeune homme qui se promit de lui offrir la plus belle robe qu'il trouverait à Storybrooke. Gold devait bien avoir quelques affaires de leur univers.

La jeune femme était de l'avis de son mari quant aux différences entre ce monde-ci et le leur. On ne trouvait que de rares points communs mais le plus important était qu'ils soient ensemble et que plus rien ne les séparent jamais. « Oui, je n'aurais pas eu la chance de trouver tout cela dans la forêt à mon avis. Bien que je me souviens comment on fait pousser des fruits et légumes. Mais le temps nous a tellement manqué... »  dit-il en souriant avant d'ouvrir une bouteille de vin. Leur repas n'aurait rien de leurs précédant, que ce soit dans leur château ou à Storybrooke. C'était étrange de se dire qu'ils avaient passer tant de temps si près l'un de l'autre sans se reconnaître, tentant une relation qui se ressentait comme normale, logique. Ils avaient manqué de temps en effet, mais plus rien, pas même Regina, ne serait une menace. Elle était en ce moment assez occupée avec l'idée de changer, pour montrer à son fils qu'elle peut être une bonne personne.

« Tout à été fait ici pour nous empêcher d'être ensemble. Depuis le lancement du sort noir. Mais aujourd'hui, ni un coma, ni une marâtre ne pourront plus nous séparer ! » déclara David comme un cri du cœur. Il ne laisserait plus personne lui prendre sa femme, l'amour de sa vie. Bien qu'une menace plane sur leurs vies à tous, le prince ferait en sorte que la bataille aie une issue des plus rapide, afin qu'ils puissent retourner dans leur monde. Il avait la nostalgie de ses terres et désirait reconstruire leur royaume, tous ensemble, comme ils l'avaient déjà fait auparavant. « Tu te rends compte... » commença l'homme en prenant la main de sa bien aimée. « C'est le premier repas que l'on prend ensemble depuis le réveil. Pire même, depuis ton accouchement ! Nous n'avons jamais eu l'occasion de dîner ensemble. Avec la disparition de Kathryn, les soupçons de chacun, les ragots... Je suis heureux de t'avoir enfin auprès de moi, mon amour. » Il embrassa sa main tendrement. L'amour que Charming portait à sa moitié était pur, magique.
Après avoir trinqué, les deux jeunes gens entamèrent leur pique-nique. David servit sa dame tel un gentleman, ne faisant que la regarder comme si plus rien n'existait en dehors de sa personne, une bulle se formait autour d'eux. Dieu que l'on est bien en tête-à-tête...

David rit d la remarque de sa femme, c'est certain que l'on ne risque pas de trouver ce genre de chose chez eux. Il ne poussait pas de confiseries sur les arbres, quoi qu'en pense les livres pour enfants de ce monde-ci. Il est vrai que tout était différent ici, et pas qu'en terme de nourriture. Il ne semblait pas exister d notion concrète de bien ou de mal, tout comme l'on ne trouvait pas toujours des gens sur qui compter. Fort heureusement, les frontières entre Storybrooke et le reste du monde tenaient encore, mais si quelqu'un parvenait à enter en ville... On ne saurait comment réagir. Le prince avait l’habitude d ses terres, il ne souhaitait rien d'autre que de rentrer chez lui, chez eux, afin que tout reprenne son cours normal. Ils pourraient élever leur fille là bas, offrir à Henry la vie de chevalier dont il rêvait si souvent.

Mais pour le moment, ils ne pouvaient pas rentrer dans la forêt enchantée. Ils n'en avaient pas le moyen concret. Mais cela viendrait, et lorsque tout serait prêt, il faudrait que tous se tiennent prêts. Mary Margaret avait raison et elle n'ignorait pas à quelle point, lorsqu'elle disait que Regina ne pouvait leur nuire. Elle était bien trop occupé en ce moment avec son envie de changer qu'elle en oubliait leur présence. Elle semblait même ne pas se préoccuper de sa mère. « Elle en a finit d'essayer. Nous gagnons toujours, parce que rien n'est plus fort que l'amour que nous nous portons. » dit-il en la regardant tendrement.

Il ne fallait pas parler de malheur, mais le Charming espérait bien que la Reine les laissent enfin en paix. Se battre est épuisant pour les deux camps, à présent chacun devait faire son chemin de son côté, en attendant la prochaine menace qui ne saurait tarder. Mary Margaret avait vu juste. Le couple avait passé des années près de l'autre sans jamais en avoir conscience. Sans l'arrivée de Emma, son fils n'aurait jamais eu dans l'idée de réveiller Charming, car la magie venait d'elle, de ce qu'elle était. Elle seule pouvait affaiblir assez la malédiction pour faire se réveiller son père et montrer à Regina que l'on ne gagne jamais en trichant. « Henry est un brave garçon. Il sait ce qu'il fait. Il fera un bon chevalier plus tard. Sans lui, nous ne serions pas là aujourd'hui. Heureusement que tu lui a donné ce livre. Même sans t'en souvenir, tu es toujours là pour aider. » se rendit compte le blondinet. Sans vraiment savoir d'où pouvait venir ce live ni ce qui avait poussé Snow à l'offrir à leur petit-fils. Mais le résultat est là. Tous sont libre aujourd'hui, grâce aux actes courageux d'un petit garçon de dix ans qui a obtenu ce qu'il est si dur d'avoir à son âge : la confiance d'un adulte. Il était fier d'être son grand-père, bien que cela paraisse bizarre à son âge, étant bloqué dans la trentaine, comme sa fille...

Se sentant heureux, David embrassa sa compagne tendrement, lui montrant que malgré le manque ressentit, ils étaient réunis et cela ne changerait pas... Ce n'est qu'une fois ce baiser achevé qu'ils entamèrent leur repas de fortune. « Penses-tu que nous retournerons dans notre monde bientôt ? » demanda le prince  sur le ton de la conversation. « Je rêve de la ferme de mes parents depuis quelques semaines. Ça me manque...Tu aurais vu ce paysage à l'époque ! C'était tellement reposant. » La nostalgie gagnait l'homme mais sa joie ne disparaissait pas pour autant. Il aurait aimé que Mary Margaret puisse partager plus avec sa mère, qu'elle ai eut le temps de la connaître. Elle avait perdu ses parents si jeune... Ruth l'aimait beaucoup, même en l'ayant vu une simple fois. Elle manque énormément au jeune prince.

Sur le long chemin de la vie, le jeune homme avait vu se dresser toutes sortes de ronces, de racines, tant d’embûches qui ne l'ont pourtant jamais découragé dans sa quête de l'amour. Un ariage arrangé, une reine maléfique, une amnésie ou un coma n'y changeront rien, David avait vécu pour trouver l'amour et il avait tenu la promesse faite à sa ère de choisir une femme qu'il aimerait pour de vrai pour devenir son épouse et lui offrir la bague si précieuse de sa mère. Cet anneau se trouvait actuellement au doigt de Snow. Elle ne le quittait jamais. Cette alliance était le symbole de leur amour sincère et fidèle que nul ne détruirait jamais. Leur relation avait fait voir le jour à une magnifique jeune femme, aux traits de sa mère mais au caractère tellement bien trempé de son père. La jolie Emma avait tout pour devenir quelqu'un d'important. Elle avait mit au monde Henry dans ce monde infernal, n'ayant d'autres choix que de l'abandonner. Ce choix si douloureux auquel aucun parent ne devrait avoir à se soumettre... Sans ce jeune garçon pourtant, rien n'aurait été possible ici. David serait rester dans le coma et Emma n'aurait jamais retrouvé le chemin de sa famille, elle aurait pensé qu'ils l'avaient abandonné pour de bon, qu'ils ne tenaient pas à elle. Alors qu'en réalité, ils l'aimaient de tout leurs cœurs et avaient sacrifié tout ce à quoi ils étaient attachés pour lui sauver la vie. Et c'était très dur de lui faire entendre raison !

« C'est vrai que Rumpel à fait fort... Il a tout prévu depuis le début de ta grossesse, j'en suis certain. On lui est plus redevable qu'on le pense, j'espère ne pas le payer un jour, ce serait une dette colossale. » pensa le prince à voix haute. Ce serait extrêmement malheureux si le vieux sorcier se décidait à leur faire payer le prix de leur réunion. Mais aucun pacte n'avait été fait, il avait répondu à Regina en lui apportant un enfant en contrepartie d'on ne sait quoi. Le reste, il l'avait pensé seul et rêvait de faire payer la reine plutôt que les habitants, c'était bon signe.

Changeant de sujet bien rapidement, Charming embrassa sa belle et ils purent entamer leur repas. C'était si étrange de se retrouver ainsi, tous les deux, sans aucune menace au-dessus de la tête. David s'en sentit nostalgique et la conversation dévia irrémédiablement vers la question de rentrer à la maison... Le berger se languissait de ses terres, il était partit depuis bien trop longtemps et même en étant ce « David Nolan » de Storybrooke, il avait toujours entendu l'appel de la campagne et des bois foisonnants. Il fallait trouvé le moyen de rentrer au plus vite, de faire découvrir ce pays à leur famille si grande désormais. « Même si j'en reviens, c'est vrai que ça me manque aussi. » Le fait que Mary Margaret revienne tout juste de leur landes fit un pincement au cœur du blond. Il savait que ça avait été dur d'être là bas, entourées par des gens différents, des pièges de Cora et ce pirate de malheur... Néanmoins, David aurait souhaité partir avec sa femme et sa fille, les aider dans cette tâche... Mais son rôle avait été des plus important ici, il avait aidé chacun à retrouver les siens, organisé la survie de leur peuple, ça n'avait pas été vain, même si les solutions ne pleuvaient pas encore.

« J'espère parvenir à nous faire rentrer. Je trouverais un moyen, je te le promets ! » fit le prince, plongeant son regard dans celui de sa moitié. Jamais encore il n'avait rompu une promesse, et celle-là, il allait la tenir également. « Tu crois que Emma se plairait là bas ? Une fois nos marques reprises . Je sais que Henry rêve d'y vivre, on passe assez de temps ensemble pour qu'il m'ait déjà fait raconter dix fois nos exploits ! Mais Emma... je 'inquiète, je n'arrive pas à la percer... » David souffrait énormément de la distance qu'il y avait entre lui et sa fille. Il désirait tant se rapprocher d'elle, lui prouver son amour... Elle parvenait à être proche de Snow, elles avaient eut plus de temps ensemble mais le jeune homme voulait son tour, tisser un lien avec elle.